Du rififi au Tonkin

J'ai survolé pas mal de comptes rendus pour Bolt Action et pour ce dernier épisode , moi qui suis un fan inconditionnel de ta Narration je prend le tout pour te dire qu'il devient le CR de référence.
la table, les figurines, la Photographie et LE TEXTE: le niveau est au top,et  il va falloir sacrément élever le niveau pour faire aussi bien.
MERCI Jean pour ce moment!!!

C'est vraiment un rapport de bataille très complet.....Belles armées, belles photos, belle table....Bravo ! ! ! Tout y est ! ! !
C'est un plaisir à lire et à regarder sans modération.....merci Jean...

Merci pour ce CR, entre la narration, les décors et les figurines, vraiment du super travail. Content que Roger et Müller s'en soient sortis

Fabuleux ce titre "du rififi au Tonkin"....
Mais cela me rappelle aussi que du coté de Saïgon il y avais aussi du rififi...
C't'espèce de drôlerie qu'on buvait dans une petite taule de Bien Hoa pas tellement loin de Saïgon !!!!
Allé...on se le refait :
https://www.youtube.com/watch?v=btIkYYTFqDQu

Merci Jean !!!

Tip top Jean, merci pour ce moment partagé

Jean lorsque je lis ton compte rendu, je pense au Gabin dans un singe en hiver.
Je t'en livre un passage pour le plaisir, uniquement par gourmandise :-)

Albert Quentin (Gabin) : L'intention de l'amiral serait que nous percions un canal souterrain qui relierait le Huang Ho au Yang-tsé-Kiang.
Esnault (belmondo) : Le Yang-tsé-Kiang… Bon.
Albert Quentin : Je ne vous apprendrai rien en vous rappelant que Huang Ho veut dire fleuve jaune et Yang-tsé-Kiang fleuve bleu. Je ne sais pas si vous vous rendez compte de l'aspect grandiose du mélange. Un fleuve vert ! Vert comme les forêts, comme l'espérance. Matelot Esnault, nous allons repeindre l'Asie, lui donner une couleur tendre. Nous allons installer le printemps dans ce pays de merde.

Et une autre réplique de Gabin
Attention aux roches, et surtout, attention aux mirages ! Le Yang-tsé-Kiang n'est pas un fleuve, c'est une avenue. Une avenue de 5000 km qui dégringole du Tibet pour finir dans la mer Jaune, avec des jonques et puis des sampans de chaque côté. Puis au milieu, il y a des… des tourbillons d'îles flottantes avec des orchidées hautes comme des arbres. Le Yang-tsé-Kiang, camarade, c'est des millions de mètres cubes d'or et de fleurs qui descendent vers Nankin, puis avec tout le long des villes ponton où on peut tout acheter, l'alcool de riz, les religions… les garces et l'opium…



Jean Gabin, Paul Frankeur, Un singe en hiver (1962), écrit par Michel Audiard

Nous ne te remercierons jamais assez !!! C'est rondement mené ! Bravo l'artiste !!!

Franchement merci. Mais remettons les choses à leur place, je m'amuse autant que vous à écrire mes compte-rendus. Le seul défaut est que c'est chronophage mais bon, quand on aime, on ne compte pas (ou moins).
Merci pour ces détours par Saigon et la Chine, Von Patatör et Ludocic. Pour info, Roger a aussi bien connu Lulu la Nantaise... merci pour ce passage, je le revois à chaque fois avec la même joie.

Comme d'hab, magnifique compte rendu, totalement immersif
Belle table, belles figurines...un vrai plaisir
Merci pour ce ce "reportage"